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Krapulle, les sextoys français faits à la main

Krapulle, c’est l’histoire un peu barrée de Darius & David, deux jeunes créateurs qui, déçus des godemichets standards proposés dans le commerce, décident de créer leur gamme de sextoys made in France, aussi sûrs que colorés, dans une démarche locale et avec les meilleurs matériaux disponibles sur le marché. Chacun de leurs modèles, fait à la main, présente une forme atypique qui permet de découvrir des sensations inédites.


David, co-créateur de Krapulle

En quoi votre offre est-elle innovante ?

Krapulle a été la première entreprise à s'associer à une grande chaîne de love-store - Passage du désir - pour développer, produire et distribuer à une échelle nationale, un sextoy en silicone 100% made in France, prouvant que la qualité française a du bon, surtout dans les moments les plus intimes.


La marque cherche en permanence à sourcer un maximum de produits en Europe et l'intégralité de leur gamme répond à la norme ISO 3533 relative à la conception, aux matériaux et à la sécurité des sextoys en silicone.



Pourquoi avoir choisi d’entreprendre dans la Sextech ?

Pour améliorer et faire évoluer un secteur difficile et opaque, où beaucoup de choses restent à construire. Dans le domaine qui est propre aux jouets sexuels, pouvoir améliorer continuellement chaque détail d’un produit afin de proposer toujours plus de fun et de sécurité à ses utilisateurs est une mission engageante et motivante au quotidien.


Darius, co-créateur de Krapulle

Pourquoi, selon toi, ce secteur doit se développer en

France ?

La sexualité fait partie intégrante du bien-être d’un individu. Elle participe à son épanouissement et il est regrettable qu'auprès des pouvoirs publics, ce soit un sujet si tabou en dehors de la prévention de la santé sexuelle. C’est également un secteur économique en plein développement, qui est négligé à une époque où l'hyper mondialisation questionne et où la réindustrialisation et la production locale deviennent un enjeu sociétal et politique important. Il est dommage que la sextech française se retrouve privée des financements nécessaires à son bon développement.


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